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Comment convaincre un jeune que l’école est la solution sans objectif tangible?

Depuis maintenant cinq ans, Caroline Perreault, conseillère d’orientation, utilise Academos dans le cadre de ses interventions. Le service de mentorat que la plateforme offre s’adapte parfaitement à sa clientèle de jeunes décrocheurs. Comment convaincre un jeune que l’école est la solution sans objectif tangible? Voilà ce à quoi le mentorat contribue pour ces jeunes en quête d’espoir.

Selon Caroline et ses nombreuses années d’expériences dans le domaine, les décrocheurs sont plus rigides face à leurs choix professionnels, puisqu’ils ont déjà fourni beaucoup d’efforts dans leur parcours scolaire. En parlant avec des professionnels sans aucune censure, ils ont enfin l’impression de toucher à quelque chose de concret.

Sans passer par quatre chemins, Caroline affirme que « les jeunes décrocheurs sont allergiques à la lecture ». Le simple fait de pouvoir converser avec quelqu’un de l’autre côté d’un écran humanise la quête d’informations. Contrairement aux sites web et dépliants, le mentor peut transmettre sa passion et son énergie par rapport à son métier. Parce qu’il n’y a personne de mieux placé qu’un humain pour aider un autre humain!

« La plupart du temps, les monographies ne font que donner des échelles vis-à-vis le salaire et les conditions, tandis qu’un mentor partage avec transparence les réalités de son métier. Ainsi, le jeune sait à quoi s’attendre concrètement. »

L’approche de Caroline

Dans ses interventions, Caroline aime outiller le jeune en se basant sur du concret. De ce fait, la plateforme Academos est tout indiquée pour son approche qui met de l’avant les réalités du métier. Ainsi, en échangeant avec un mentor sur l’application, le jeune peut prendre une décision éclairée en connaissance de cause.

Comme l’explique Caroline, lorsqu’un mentor partage son parcours atypique et informe son mentoré des points positifs et négatifs de son métier, il réduit l’effet de surprise et crée des références réalistes dans l’esprit du jeune. Dans sa relation mentorale, le mentor n’a rien à gagner à mentir ou à embellir des aspects de sa profession. Au contraire, il sera en mesure de mettre en garde son mentoré sur des idées préconçues qu’il peut s’être forgées en lisant des livres ou encore en écoutant une série sur Netflix.

À la fin de notre échange avec Caroline, nous lui avons demandé : quel conseil donnerais-tu à un collègue qui souhaite utiliser Academos dans ses interventions? Voici sa réponse : « La première fois que mes jeunes utilisent Academos, je leur tiens toujours un peu la main. Pour eux, c’est plus rassurant, et pour moi, ça permet d’introduire adéquatement l’outil. Une fois que le premier contact avec un mentor est établi et que je constate que le jeune est familier avec l’application, je le laisse se débrouiller et découvrir les joies du mentorat virtuel par lui-même! »

Ceci étant dit, toutes les approches sont valides. L’important, c’est que le jeune puisse trouver à travers sa quête un objectif tangible qui le motivera tout au long de son parcours académique!

Si vous souhaitez intégrer la plateforme Academos dans vos interventions et que vous ne savez pas par où commencer, nous vous invitons à visiter notre chaîne YouTube. Vous y trouverez plusieurs capsules informatives et une tonne de contenus engageants à partager avec vos jeunes!

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